Les taxis de Narbonne aux cotés de leurs clients

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Les taxis de Narbonne aux cotés de leurs clients Les taxis de Narbonne partent en guerre contre leurs collègues des environs, crient à la concurrence déloyale sur la ville de Narbonne. Ils attaquent au tribunal pour concurrence déloyale. « Seuls peuvent pratiquer sur Narbonne ceux qui ont une licence qui se rattache à cette commune » le point de vue du président de Radio Taxi Narbonne est clair et il a décidé avec d’autres taxis narbonnais de faire la chasse à ceux qui n’ont pas de licence. Les Narbonnais estiment le préjudice causé de l’ordre de 200 euros par jour rien que pour les courses autour de la gare. Radio Taxi Narbonne n’a pas l’intention de lâcher l’affaire, « nous sommes déterminés », déclare Francis Calas, président de cette association de taxis. Les taxis, ayant une licence délivrée par la ville de Narbonne, dénoncent « une concurrence déloyale » pratiquée par leurs homologues détenteurs d’une licence valable hors Narbonne qui viennent, malgré tout, exercer en ville « en induisant en erreur le consommateur ». Pour Francis Calas, la législation est claire : « Seuls peuvent pratiquer sur Narbonne ceux qui ont une licence qui se rattache à cette commune. Les taxis des communes voisines peuvent travailler mais sur réservation de leurs clients. Et non ‘racoler’ les nôtres ». En somme, les taxis hors Narbonne ne peuvent pas, par exemple, charger un client à la gare de Narbonne, ce n’est pas leur commune de rattachement. Car, l’investissement de ces professionnels n’est pas le même : « Notre licence à Narbonne coûte environ 120 000 euros. Dans un village, elle peut valoir 30 000 euros voire être gratuite. Ces taxis doivent travailler dans la commune où ils ont eu leur licence ». « 200 euros de perte à la gare par jour » C’est pourquoi des artisans taxis de Narbonne ont décidé, fin novembre, de faire un recours devant la justice pour mettre un terme à la présence de « ces taxis qui se font passer pour ceux de Narbonne ». Pour le président de l’association Radio Taxi Narbonne, la preuve est mathématique : « Nous sommes 15 taxis enregistrés à Narbonne. Sur internet, nous sommes… 23 ! Sur ces 23, seuls 7 ont la licence à Narbonne ! » Ainsi, la plainte vise également certains sites de référencement internet : « Il est obligatoire que la commune de rattachement figure sur les publicités. Dans certains cas, elle est soit indiquée en miniature soit pas du tout », s’insurge Francis Calas. Selon les taxis, le préjudice financier s’élèverait à 200 euros par jour, juste pour la gare de Narbonne. Pour ce qui est des transports sanitaires,« c’est inchiffrable ». Hier matin, l’audience en référé au tribunal de Narbonne a été renvoyée au 5 mars prochain. Ces actions judiciaires s’étendent dans le sud de la France. Début février, une société a été condamnée à Carcassonne, d’autres procédures sont également en cours à Aix-en-Provence, notamment. Les taxis de Narbonne paient leur licence « 120 000 euros. Dans les villages, elle peut valoir 30 000 ou être gratuite ». source l’indépendant 02/04/2013 Voir l'article précédent

Quelle place pour les taxis dans la ville de demain ?

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Quelle place pour les taxis dans la ville de demain ? On annonce ce matin plusieurs centaines de kilometres de bouchons sur le peripherique et les autoroutes ; il vous est donc conseille d’emprunter les transports en commun. Pour ceux qui prennent leur voiture, il faudra etre patient ! Un message radio matinal devenu banal qui reflète l’un des problèmes majeurs de la mobilité urbaine contemporaine. En effet, ces dernières décennies, le débat sur cette question a été de plus en plus marqué par la lutte contre la congestion, une conséquence non désirée de l’augmentation de la motorisation. Le fait de posséder une voiture est devenu un fait commun, pas seulement parce qu’elle est devenue accessible à de plus en plus de personnes, mais parce qu’elle permet surtout plus d’indépendance et de mobilité. Et cette motorisation croissante a non seulement fragmenté la demande de transport dans l’espace, avec la progression de l’étalement urbain, mais également dans le temps, chacun ne suivant plus le même rythme de vie. Les autorités ont essayé de répondre à ce nouveau problème de congestion en utilisant à la fois des moyens de coercition et des moyens d’incitation pour réduire l’usage de la voiture individuelle. Le coercitif a consisté à diminuer les espaces de circulation et à augmenter les prix — de stationnement notamment — ; l’incitatif à faire parallèlement de gros efforts d’investissement sur les systèmes de transport collectifs, afin d’inciter à un report modal. Mais en même temps, des investissements très importants ont été réalisés sur les réseaux autoroutiers pour faciliter la circulation entre les différents noyaux des grandes agglomérations. Et cela a profité à l’étalement urbain et à la motorisation des foyers. Aujourd’hui, le système de transport collectif moderne offre un très bon service aux citoyens dont les points de départ et d’arrivée se situent sur les lignes fixes du système, mais condamne et impose transferts et attentes interminables à ceux dont le point de départ se situe sur une ligne et l’arrivée sur une autre. Et bien évidemment, il y a encore de nombreux citoyens qui ne vivent ou ne travaillent pas à proximité d’une de ces lignes fixes, et doivent donc nécessairement prendre une, voire plusieurs correspondances. Toutes les enquêtes montrent que les personnes qui doivent subir plus d’une correspondance prennent congé des transports collectifs dès qu’ils le peuvent pour utiliser leurs propres moyens : autrement dit la voiture.   Repondre aux besoins de mobilite modernes Le besoin de mobilité s’individualise, se diversifie spatialement et temporellement, et devient plus spécifique selon les groupes de population. Pourtant, il convient de leur trouver des solutions collectives. Cela suppose donc une meilleure adaptation des transports collectifs aux situations et aux besoins changeants des populations urbaines. Quel rôle le taxi peut-il jouer pour répondre à ces nouveaux besoins ? Le taxi présente déjà tous les avantages de la voiture particulière : confort, service de porte-à-porte, possibilité de se déplacer avec des paquets lourds et encombrants ; mais sans ses limitations : stationnement difficile, possession du permis de conduire, coût, etc. En outre, sa flexibilité — on peut le prendre de n’importe où pour n’importe quelle destination — fait de lui le mode de transport transmodal par excellence. Alors pourquoi son usage n’est-il pas plus développé en France ? En vue des nouvelles problématiques et nouveaux enjeux de la mobilité urbaine, quelle place pourrait-il trouver dans l’organisation de l’offre de transport public ?   Quels sont les potentiels du taxi ? Le taxi est en fait un objet fascinant mais méconnu. Il est strictement encadré en France, par une législation et une organisation professionnelle qui lui sont propres. Par ailleurs, ses usages sont extrêmement diversifiés : – pour se rendre et revenir des gares et aéroport, car il est très pratique pour transporter des bagages. En outre, il est également très pratique pour les touristes, qui ne connaissent pas forcément la ville ni les conditions de circulation ; – pour les déplacements nocturnes : le taxi est le seul moyen de déplacement accessible à tous entre minuit et 5h — excepté le vélo et la marche. Il est donc beaucoup utilisé la nuit, aux sorties des boites de nuit et restaurants, par une population assez diversifiée. Il est souvent préféré à la voiture particulière, car il permet de rentrer en toute sécurité et légalité malgré la fatigue et l’alcool ; – pour les déplacements professionnels. Les entreprises et administrations font notamment appel à eux pour éviter à leurs salariés de prendre leur voiture ou les transports en commun, par mesure de sécurité ou tout simplement comme avantage en nature ; – pour effectuer des déplacements liés aux soins médicaux ou pour les personnes à mobilité réduite ; – dans le cadre de contrats de transport à la demande (TAD). Un TAD est un service de transport public, qui nécessite qu’une réservation ait été enregistrée pour fonctionner. Il est généralement utilisé dans le cas de services de transport en zone peu dense ou bien en période de faible fréquentation, pour remplacer une ligne de bus par exemple ou compléter l’offre à des moments où les besoins sont différents. Ainsi, les potentiels du taxi sont grands. Il est à la fois capable de ressembler à une simple voiture avec chauffeur et se muter dans la seconde suivante en minibus affrété à un itinéraire prédéterminé. Dans un contexte de besoins en mobilité urbaine de plus en plus éclatés et diversifiés, le taxi a donc effectivement tous les atouts pour être une composante à part entière de nos systèmes de transports urbains futurs et offrir une solution collective à nos besoins de plus en plus individualisés. Avec l’aide des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) et de l’innovation, le taxi peut devenir plus performant et mieux répondre aux besoins des citadins, comme des ruraux. Mais le cadre légal et les logiques d’acteurs qui composent l’objet taxi sont un véritable frein à son évolution en France. Le taxi reste aujourd’hui un mode de transport très figé, qui n’a

Les taxis refusent de céder le passage aux chauffeurs privés

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Les taxis refusent de céder le passage aux chauffeurs privés Le gouvernement a tranché : les voitures de luxe se voient notamment imposer un délai de quinze minutes avant la prise en charge d’un client. C’est un nouvel épisode de la concurrence féroce qui oppose les taxis aux véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC). Depuis le début de l’année, ces voitures de luxe de couleur foncée, aux vitres fumées et dont les chauffeurs sont habillés comme des Milords, transportent des quidams avec les égards et les privilèges habituellement réservés aux people et fortunés. Différences avec les 18 000 taxis parisiens, qui dénoncent une «concurrence déloyale» : les VTC facturent des courses légèrement plus onéreuses, n’arborent aucun signe distinctif, n’ont pas le droit de «charger» des clients au débotté sur la chaussée, ni de stationner à des bornes pour les attendre. Les courses doivent avoir été commandées par téléphone, Internet ou via une application smartphone. C’est la loi du 22 juillet 2009 sur le «développement et la modernisation des services touristiques» qui a autorisé la création de ces sociétés de VTC (LeCab, Chauffeur privé, SnapCar, Uber, Voitures jaunes…) qui proposent une course payée par carte bancaire, une facturation par mail et des services soignés à bord. Face à la fronde des taxis, le gouvernement vient d’annoncer de nouvelles mesures censées «mieux réguler la concurrence entre taxis et VTC et élargir l’offre de transports, notamment à Paris». Que reprochent les taxis aux VTC ? Que leurs services ne s’adressent pas uniquement aux touristes, comme leur dénomination le précise. Mais c’est surtout le délai de prise en charge, non encadré, qui pose problème. Les organisations de taxis veulent imposer un délai minimal, afin que les VTC n’empiètent pas sur leur marché. Ils exigent ainsi un temps d’attente incompressible d’un quart d’heure, alors que le temps moyen entre la commande d’un VTC par un client et la prise en charge de ce dernier s’élève aujourd’hui à sept minutes. Autres mesures souhaitées : un taux de TVA de 19,6% au lieu du taux réduit de 7%, alors même que le code des impôts prévoit qu’«un taux réduit de TVA s’applique aux transports de voyageurs, quel que soit le mode de transports utilisé» ; une formation obligatoire et sanctionnée par un examen pour les chauffeurs de VTC ; une maîtrise de la langue anglaise ; un relèvement du prix de l’inscription des chauffeurs à 10 000 euros au lieu de 100 euros ; le rattachement de chaque VTC à une zone géographique comme périmètre d’activité. Et, enfin, le renforcement des contrôles et des sanctions contre les VTC qui maraudent – «chargent» des clients dans la rue – à l’instar des taxis, sans réservation préalable. Qu’a décidé le gouvernement ? Après neuf mois de consultations et une quinzaine de rendez-vous avec la Fédération nationale du taxi (FNDT) et la Fédération française du transport de personnes sur réservation (FFTPR, qui réunit Snapcar, Chauffeur privé et LeCab, soit 750 chauffeurs à Paris), les deux ministères concernés – Intérieur (pour les taxis) et Tourisme (pour les VTC) – viennent de rendre leur arbitrage. Première mesure : un délai obligatoire de quinze minutes entre la réservation et la prise en charge du client par les VTC, sauf pour «les activités liées au tourisme que sont la prise en charge du client à partir d’un hôtel haut de gamme ou à l’occasion d’un salon professionnel». Seconde mesure : la mise en circulation de «mille véhicules [taxis] supplémentaires dans la zone parisienne» à condition d’un «engagement des conducteurs de travailler sur les jours et les plages horaires où la demande est la plus difficile à satisfaire, en particulier les nuits de vendredi et samedi». Elles prendront effet le 1er janvier. «Il faut à la fois veiller à offrir le meilleur service possible aux usagers de taxis ou de VTC et, en même temps, veiller à ne pas faire une concurrence indue à des chauffeurs de taxi qui ont dû s’acquitter de sommes importantes pour acquérir leur patente», a commenté mercredi Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement, qui juge la nouvelle règle «équilibrée». Comment réagissent les VTC et les taxis ? Mal, du côté des VTC, qui dénoncent une «victoire du lobby des taxis» qui aurait «fait pression sur le gouvernement pour protéger leurs avantages», selon Benjamin Cardoso, PDG de LeCab et président de la FFTPR. Et d’asséner : «On tue l’innovation pour préserver les intérêts d’une corporation.» Il dénonce une «pression menée auprès du ministère de l’Intérieur par les sociétés de radio-taxi, en situation de monopole depuis trente ans à Paris». Des taxis «saturés de demandes, mais qui ne veulent personne sur leur pré carré». Sous-entendu : les entreprises G7 et Taxis bleus, propriétés de la famille Rousselet, ont actionné «leurs puissants leviers» dans les arcanes du pouvoir. Quant à la création des mille «autorisations de stationner pour les taxis» – comprendre «autorisations d’exercer» -, la FFTPR dénonce leur mise sur le marché à titre gratuit, «alors que le gouvernement a besoin d’argent et qu’une plaque, actuellement, vaut 230 000 euros à Paris». Pour le syndicat des taxis, l’arbitrage sur le temps de prise en charge est «une bonne chose», mais «le compte n’y est pas, car toutes nos autres demandes concernant l’encadrement de l’activité des VTC n’ont pas été entendues». C’est ce qu’on peut appeler, de la part du gouvernement, ménager la chèvre et le chou. Voir l'article précédentVoir l'article suivant

Radio Taxi Narbonne, votre solution déplacement à Narbonne

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Radio Taxi Narbonne, votre solution déplacement à Narbonne Si vous êtes en voyage d’affaires ou si vous séjournez en famille à Narbonne, il n’est pas toujours facile de vous déplacer dans une ville que vous ne connaissez pas. Il existe cependant une solution simple pour trouver votre hôtel ainsi que les musées et les monuments à visiter sans vous tromper et en gagnant un temps précieux, le transport en taxi. En choisissant de vous déplacer en taxi à Narbonne, vous pourrez profiter de votre séjour sans énervement et en étant certain d’arriver à l’heure à une réunion de travail, par exemple. Nous vous invitons à découvrir le service professionnel optimal offert par le groupement Radio Taxi Narbonne qui vous conduit à bon port nuit et jour, 7 jours sur 7. De l’aéroport à votre hôtel, de votre domicile à la gare ou au à la mer, vous vous déplacerez confortablement et en toute sécurité à Narbonne mais également entre les différentes villes de la région Languedoc. Radio Taxi Narbonne deviendra également le partenaire privilégié de vos moments shopping et de vos soirées. La recherche d’une place de parking et les contrôles de l’alcoolémie ne seront plus que des mauvais souvenirs pour vous. N’hésitez pas à calculer le prix de la course en taxi à Narbonne grâce au référentiel de tarifs, une manière idéale pour se mettre à l’abri de toute mauvaise surprise. Voir l'article suivant

RADIO TAXI NARBONNE est un groupement d’artisans Taxi stationnés à la gare de Narbonne. Nous répondons chaque jour à vos appels et à vos demandes de réservation de 6h à minuit et 7j/7 pour traiter l’ensemble vos demandes de mobilité.

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